Chronique des 10 ans de VEA n°3

Ta période en Angola : Angola 2006 - 2016

Où es-tu ? Que fais-tu ? En France dans le sud, prêt d’Aix en Provence depuis juin 2016 et une reconversion : Je suis praticienne en massages drainants.

Mon meilleur souvenir VEA : Il y a que de bons souvenirs, des sourires, des femmes extraordinaires, mais mon meilleur souvenir reste l’organisation de «Vos œuvres pour nos œuvres» (VOPNO) cette vente aux enchères, au profit d’un projet solidaire. Cela a été un de mes plus beau souvenir ! Même si je tremblais comme une feuille lors de la vente aux enchères au micro…. très beau souvenir. (NDLR replongez vous dans l'opération VOPNO 2017, 2016)

Comment ton expérience VEA a-t-elle boosté ta carrière ? VEA n’a pas spécialement boosté ma carrière en Angola et ce n’était pas un but ! Mais que de belles rencontres !

Plutôt café de la rentrée ou rédaction de chroniques ? J’étais plus café rencontre car j’avais à cette époque avec my partner Lamia une agence d’événementiel « Première Events » et nous chapeautions les events avec toute l’équipe.

Quelle est la remarque (positive / négative) la plus frappante que tu aies entendue sur VEA ? : Merci pour toutes ces bonnes infos de bons plans, merci de nous réunir !

Que penses-tu du non respect de la parité dans l'équipe VEA ? Je ne juge rien dans le respect de la parité. VEA accueille toutes les personnes qui sont positives, énergiques, créatives et disponibles, car oui VEA demande du temps si nous voulons faire les choses bien.

As-tu déjà vu une palanca negra ? Hé non jamais vu, malgré plusieurs expéditions dans le pays en 10 ans !

Une idée de thème du prochain concours photos ? Então vamos ou Angola detalhes ou Juntos !

Ta période en Angola : 2013-2017

Où es-tu ? Que fais-tu aujourd’hui ? Je suis en France. Je suis coach certifiée : j’accompagne des femmes en transition professionnelle ou personnelle ainsi que des femmes dans la précarité. Je suis également maman de 5 enfants à mes heures perdues !

Ton meilleur / pire souvenir VEA ? Les réunions d’équipe, à chaque fois une énergie folle, de la co-construction qui fait avancer les projets à toute vitesse, et les caractères et compétences de chacune qui se complètent et s’enrichissent ! Mais le souvenir le plus marquant reste l’organisation de VOPNO (Vos œuvres pour nos œuvres) !

Comment ton expérience VEA a-t-elle boosté ta carrière ? Elle m’a permis de voir que l’on peut être compétente dans des sphères totalement différentes de son profil initial, elle m’a permis d’expérimenter le pouvoir du co-développement et du travail en équipe. Et elle m’a fait prendre confiance en mes capacités ! Plus globalement le fait de se dire que des opportunités inattendues se présentent en expat et qu’il faut vraiment les saisir…

Tu es plutôt café de la rentrée ou rédaction de chronique ? Plutôt rédac’ en terme de temps passé, mais j’adorais le café de la rentrée…

Quelle est à ton avis l’opération solidaire qui a été la plus forte / utile  VOPNO (Vos œuvres sont nos œuvres) sans hésiter !

Comment es-tu tombé(e) dans l’aventure VEA ? Je suis tombée sur Anne Cécile…quelle chance j’ai eue !

Que penses-tu du non respect de la parité dans l’équipe VEA ?Inévitablement lié à la non parité des expats ! C’est surtout une histoire de disponibilité…

As-tu déjà vu une palanca negra ? Oui mais elle était plus colorée que negra !

Période en Angola : 2014 à 2018

Où es- tu ? Aujourd’hui je vis à Pau et je gère ma propre agence d’architecture d’intérieur. (NDLR : tu avais déjà cette activité en Angola, elle a été présentée dans la rubrique les expats ont du talent !)

Mon meilleur souvenir VEA ? Avoir pu contribuer à la mise en place de la vente aux enchères solidaires d’œuvres... La toute première édition ! à l’Epic Sana. Un évènement unique dans un contexte que je connaissais peu ou pas du tout et une vraie réussite en équipe. (NDLR : Cet événement a vraiment marqué l'équipe ! Lisez l'article sur les coulisses de l'édition 2017)

En quoi ton engagement à VEA a-t-elle boosté ta carrière ? J’ignore si cela a pu booster ma carrière…mais en tout cas cette expérience m’a permis surtout de sortir de ma zone de confort pour aller à la rencontre de l’autre. Et j’avoue qu’aujourd’hui ce sont des petites et grandes victoires qui m’aident à oser plus dans mon métier.

Plutôt café de la rentrée ou rédaction de chroniques ? Je suis plutôt rédaction de portraits. Un super rôle qui m’a permis de découvrir et de rencontrer des acteurs phares en Angola. Je pense notamment à ma première interview de l’artiste Cristiano Mangovo !

Comment je suis arrivée à VEA ? Grâce à des amies qui y étaient et m’ont proposé une première rencontre café avec l’équipe et j’ai été très séduite par l’engagement et les projets qu’elles menaient déjà et à venir.

Ta maxime pour VEA : VEA ta fiz ! Oui car nous avons créé des évènements forts où l’on ne nous attendait pas forcément…

VEA pour vous c’est quoi ? Pour moi VEA c’est entraide, rencontre, partage et découverte de cette ville de Luanda où il se passe tant de choses.

Période en Angola : Sept 2012 - Juin 2016. Après l'Angola, j'ai passé 5 ans au Chili à Santiago, et depuis juillet 2021 je vis à Lyon.

Que fais-tu maintenant ? Je travaille pour Wheel the World, une plateforme spécialisée dans le tourisme accessible pour que les personnes en situation de handicap puissent réserver des expériences de voyage et des hébergements adaptés à leurs besoins. J'ai démarré cette super aventure il y a 3 ans au Chili et je continue de travailler à plein temps à distance.

Plutôt café de la rentrée ou rédaction de chroniques ? Je suis plutôt café de rentrée et organisation d'événements en général. Avec Corinne nous avions notre entreprise : "Première Events" et nous avons organisé des soirées déguisées, des cocktails d'entreprise, des dîners à thème, des événements gastronomiques avec un chef français dans des restaurants de Luanda et à l'Ambassade de France, etc.

Comment es-tu tombée dans l'aventure VEA ? Dès mon arrivée à Luanda en sept 2012. La fille aînée de Anne-Cécile et la mienne étaient dans la même classe. Nous nous sommes rencontrées et ça a tout de suite collé. Très vite on a parlé de VEA qui venait tout juste d'être lancé. J'arrivais de Varsovie en Pologne où j'avais géré l'édition locale du lepetitjournal.com. J'avais bien envie de rejoindre une aventure similaire et d'apporter mes compétences à ce beau projet communautaire.

Que penses-tu du non respect de la parité ? Tant pis pour la parité 😉 !!